Destination Mongolie / 06. – 08.2011

!! Quelques points GPS utiles sont visibles sous nos photos !!

Europe du Nord juin 2011

Nous sommes le 1er juin 2011, c’est le départ d’un nouveau voyage de 4 mois avec pour destination la Mongolie.
Quelques modifications de l’équipement du Sprinter 4×4 ont été réalisées pour une autonomie plus importante. Ils nous reste que le test du kit altitude du chauffage auxiliaire, qui n’a jamais fonctionné au dessus de 1600 m d’altitude.Donc notre première nuit on l’a passera au sommet du col du Furka (Suisse) avec une température de 2° à plus de 2500 m d’alt. Test concluant!
Au niveau des itinéraires pour se rendre en Mongolie par la route, les variantes sont nombreuses. Nous avons choisit de passer par le nord de l’Europe pour entrer en Russie par Saint-Pétersbourg.

En Allemagne, installé dans un parc à Berlin, c’est en métro que nous avons découvert cette ville chargée d’histoire à commencer par la galerie peinte sur les restes du mur, sans négliger le soir les terrasses des nombreux cafés pour y savourer aussi, une curry Wurst arrosée de bonne bière bien méritée.

La Pologne, toujours avec sa monnaie (zloty), n’est qu’à une centaine de kms. Avant qu’un faisan ne choisisse notre pare-brise pour se suicider, nous pensions traverser le pays Ouest en Est. Arrivé à Bydgoszcz , après 200 kms sans grande visibilité, c’est chez Feu Vert Pologne, ( et oui) que l’onremplacera le pare-brise. La réparation ne durera que 40 min. (Pub).
On reste dans le nord du pays, sans se faire piéger par les nombreux radars, en profitant des nombreux petits lacs connus dans cette région pour passer nos nuits en pleine nature. Nous arrivons dans les pays Baltique (Europe). La Lituanie, monnaie les litas, la Lettonie monnaie les lats avec la visite de Riga, puis Estonie qui s’est mit à l’Euro depuis cette année. Les pays Baltes ne portent pas grand intérêt touristique à nos yeux, mais c’est le chemin à prendre pour St. Pertersboug.
Le passage de la frontière entre l’Estonie et la Russie à Narva nous prendra 3 heures en file d’attente, avec une grande simplicité contrairement aux commentaires de certains voyageurs qui souvent ont exagéré sur les formalités douanières. Beaucoup n’ont surement jamais connus d’autres frontières dans le monde. Important: Ne pas oublier à l’entrée de la ville de Narva (N59°22.654 E028°09.325) de s’acquitter d’une taxe de € 2.– qui donne le droit de l’ouverture de la barrière de la frontières.

Russie juin 2011

Infos !! Diesel: 23-26 Roubles soit: CHF 0.73 – Visas : CHF 250.–/pers. pour 6mois multiples entrées fait en Suisse, pas d’assurance exigée, carte de crédit sans problème, bivouac très facile.

Depuis le passage de la frontière, nos premiers tours de roues en Russie, en direction de St. Petersbourg, se feront sur des routes très fatiguées (expression africaine). Mais à l’approche de la ville les conditions s’améliorent considérablement.
Pour visiter trop brièvement cette Venise du nord qui est aussi la capitale impériale, on restera 2 jours installé dans un ancien stade de la ville (N59°54.137 E030°16.174) que l’on partagera avec une quinzaine de cc qui se déplacent en voyage organisé. ll faudrait des semaines pour découvrir toutes les richesses de cette ville agréable, très verte avec ses nombreux parcs et jardins. Les stations de métro sont d’une propreté à faire rougir les Parisiens. Petite difficulté, les destinations sont écrite en cyrillique et ne sont pas toujours facile à mémoriser. Le coût de la vie en ville est équivalent à l’Europe. Le luxe aussi: il est rare d’apercevoir une bonne vielle Lada entre les Cayenne et autres voitures de luxe. En ce moment de l’année, au mois de juin, Saint-Pétersbourg, vit les nuits blanches. La luminosité faiblit vers une heure du matin, pour reprendre vie deux heures plus tard. C’est une sensation étonnante.
Moscou n’est qu’à 700 km. Sur une route surchargée, encombrée par un nombre invraisemblable de poids lourds qui circulent les uns derrière les autres on connaitra des bouchons interminables. Moscou est dépassé par le trafic. Dans cette ville de 12 mio d’habitants (presque deux fois la population de la Suisse), il nous faudra beaucoup de patience pour atteindre le Kremlin et la place Rouge que Valérie, mon guide qui n’a pas les cheveux blonds, avait à cœur de me montrer ces incontournables qu’elle a connue professionnellement. C’est mythique.
Encore une fois, plusieurs semaines seraient insuffisantes pour visiter Moscou, mais notre chemin passait par là et notre priorité est de consommer les 6000 kms qu’ils nous restent pour atteindre la Mongolie.
Au fil des kms, l’état des routes passent du difficile, déformés, voir défoncés par les poids lourds, (estomac fragile s’abstenir) à très bonne qualité qui permet de rouler à une vitesse agréable.
Avant de franchir la chaîne de l’Oural, on traverse d’immenses plaines avec des surfaces de céréales à perte de vue. Une partie de l’Oural, c’est sous la pluie, dans une grisaille accrochée à la cime des arbres, que nous avons dégusté les longues files d’attentes sur des routes encore surchargées bloquées par les travaux d’entretien.
On arrive à Omsk avec un décalage horaire de 5 heures (en plus). Tristement connu par l’histoire du bagne sibérien avec le bagnard le plus célèbre Dostoïevski emprisonné durant 4 ans. C’est le début de la Sibérie occidentale. La température passe de -20° en hiver à +20° en juin. Dans cette région déjà très marécageuse, il pleut violemment toutes les nuits. Difficile de sortir de la route pour les bivouacs, c’est souvent dans le fond des parkings de poids  lourds que nous trouvons notre petit paradis pour y passer la nuit. Les paysages deviennent longs et monotones. Cela nous rappelle un peu la transcanadienne. De plus, durant ce dimanche un peu lassant, ce fut la journée des contrôles et du radar. On se fera arrêté pour un sois disant dépassement de vitesse de 27Kmh avec photos en couleur! Sans suite après ma demande avec insistance au policier de son matricule . Flics corrompus ! Pas de chance avec nous. Ce seront les seuls contrôles de Police durant la traversée de la Russie. On arrive au centre de la Sibérie à Irkoutsk (+7h). Situé à 5’200 km de Moscou, cette ville a beaucoup de charme avec encore de vielles  maisons en rondins décorées de dentelle de bois. Beaucoup d’espace vert, sur les rives de l’Angara on peut voir le monument Youri Gagarine sur le boulevard du même nom. La demande de nos visas pour la Mongolie nous demandera 2 jours d’attentes. On en profitera pour passer nos nuits à Listvianka sur les bord du lac Baïkal. Le lac Baïkal est une merveille de la nature. L’eau est d’une transparence extraordinaire on peut y voir comme à travers l’air – écrivait Tchekhov dans une lettre à sa famille. C’est le plus grand réservoir d’eau douce de la planète. Selon certaines études, il pourrait alimenter la population mondiale pendant 40 ans. L’hiver, 1.5 m de glace recouvre le lac ce qui permet de le traverser en voiture. Nous sommes fin juin, malgré un soleil bien présent il ne fait que 12°. Les Russes sont en bikini et les Suisses en pull et grosses chaussettes…..
Dans nos voyages, la nourriture locale fait également partie des découvertes. Voici l’exemple d’un repas typique dans un café de routiers:
la traditionnelle soupe Borchtch accompagné de pain noir, les brochettes «Chachlik» , avec une salade de choux, en dessert les petits pain d’épice « Prianiki » le tout arrosé d’un Kvas (jus de pain rassis) ou du Képhir. Sur la route on soulignera le fairplay des routiers contrairement aux automobilistes trop souvent inconscients.
Pour le ravitaillement, on trouve de tout dans les galeries d’alimentation à l’exception de la viande rouge. Valérie constatera que les fruits et légumes sont vendu au prix Suisse.

Avec nos visa mongoles en poche, on quitte Irkoutsk définitivement pour la Bouriatie. Une région montagneuse située entre le lac Baïkal et la Mongolie avec Oulan-Oudé pour capitale. Dans les steppes le climat est doux et les 150 jours d’été suffisent à produire le blé, le seigle, l’avoine du sarrasin, betterave et de cassis. En bord de route, de l’excellent poisson fumé est vendu par de charmantes dames pour quelques roubles (CHF 1.50). De cette région on gardera de bons souvenirs de nos bivouacs sur les rives du Sélinga, puis dans une nature plus sauvage sur les galets du lac Baïkal coté Est. La frontière de la Mongolie s’approche. On traverse une zone militaire russe avec un contrôle d’identité/visa. Comme d’habitude on ne comprend rien! Donc circulé…
A Kyakhta dernière localité russe, on fera un ravitaillement avec un plein de GO à raz bord (50% de moins du prix Mongole). De plus, d’après des informations, il y aurait une pénurie de gasoil dans le pays. On passera la nuit à 500m de la frontière.

Info frontière !
Comme prévu on mettra 5 heures pour passer la douane russe/Mongolienne. File d’attente 4 heures – 1 h de formalité avec fiche d’immigration en anglais, non pas en cyrillique et un personnel très serviable. Prix du sanitaire, c.a.d passage dans un bassin de décontamination, 50 roubles CHF 1.50.- puis à la sortie, dernier check mongole, une taxe de 10’000 tögrög MNT (CHF 6.65.) Pourquoi???

La Mongolie juillet 2011

Infos !! Diesel de 1780 à 1980 MNT (CHF 1.23) carte de crédit pas acceptée, Visas obtenu à Irkoutz/Russie, taxe entrée et sortie 2x 10’000 MNT (CHF6.90) pas d’assurance exigée, péages: 500 à 1000MNT (CHF 0.70) eau potable dans les villages « Maison d’Eau » 100 MNT (CHF 0.06) pour 100 litres, Internet Oulan Bator wifi-resto gratuit autres villes difficiles à trouver.

Après avoir changé €200 .– pour un demi million de tögrög MNT à la banque de Altanbulag, on reprend la route dans ce pays, grand comme trois fois la France, pour être rapidement fasciné par les grands espaces. Dans la steppe les premières yourtes (gers) apparaissent. Sous le ciel bleu, la route est correcte et bitumée jusqu’à Oulan Bator. Pour l’instant, selon l’info, le problème de fuel n’est pas perceptible. Par curiosité, à deux reprises nous avons complété notre réservoir sans le moindre problème.
Oulan-Bator «La capitale la plus moche du monde» voilà ce qu’on peut lire dans certains guide. Cette ville n’est vraiment pas reluisante lorsque qu’on arrive par le nord. Les longs chantiers poussiéreux, avant de traverser l’énorme zone industrielle, qui ressemble à un bombardement, n’arrangent rien, surtout que la déviation de l’artère principale passe par les bidons ville.
Par contre, le centre ne mérite pas cette critique. Le cœur de la ville, ou circulent toutes les voitures de luxes de la terre, est propre avec des constructions ressentes, de grands magasins, restaurants, etc.. C’est dans ce secteur qu’un parking est recommandé à tous les bourlingueurs motorisés. (N47°54.718 E106°54.361 – Parking gardé, 1’500 MNT/nuit, pas de sanitaire, pas d’eau ni d’électricité, à proximité magasins, restos avec WIFI et laundry) Malgré une météo qui se dégrade, nous y resterons 3 jours.
Dans une circulation toujours aussi désorganisée, on quitte la capitale pour prendre la direction de l’Ouest . Rapidement l’horizon s’assombrit pour faire place à la pluie. Tout n’est que grisaille avec un sol détrempé, inondé. En fin de journée, on s’engage sur une ancienne route pour le bivouac. La nuit tombe, la pluie aussi. Ce soir à tablé devant nos sushi c’est un peu le blues …
Avec le retour du beau temps, on fera le détour jusqu’à Tsetserleg pour le rocher de Taikhar recouvert d’inscriptions dont les plus anciennes remontent à l’âge de pierre. Sur le chemin, à Kharkhorin qui fut la capitale de la Mongolie, ville construite en 1220 par Chinggis Khaan, on visitera le monastère Erdene Zuu Khiid, un chef d’œuvre qui fut pratiquement rasé par les Soviétiques dans les années 1930.
Sur la route, qui devient piste sur 1500 kms depuis Arvayheer, on passera par toutes les météos. Même inondées, les pistes sont pour l’instant convenables dans la majeur partie. Au niveau du fuel, il n’y a aucun soucis de ravitaillement, les nombreuses stations d’essence sont alimentées et vendent au prix affichés sans majoration.  En ce qui concerne les bivouacs, c’est très agréable, il suffit de repérer un endroit sympa pour y passer de paisibles nuits. Le camping est possible partout, puisque la terre n’est pas une propriété privée en Mongolie.
Dans la région de Bayankhongor la rivière (Baydrag) oblige un joli passage à gué sur une quarantaine de mètres, sans risque avec un fond solide, ce qui permet également aux camions citernes de la traversée. Dans cette région désertique, la piste s’améliore et devient presque agréable sur certains tronçons jusqu’à’ Altaï. Puis vient la galère de la tôle ondulée sur une centaine de kms.
A Darvi, surprise ! Dans ce petit village, deux Toyota viennent d’arriver, l’un immatriculé en Valais, l’autre en Autriche. On prend le temps de sympathiser, d’échanger quelques infos pratiques et chacun reprend sa route.
Dans cette traversée, on est souvent seul, avec un habitant et demi au kilomètre carré, on n’en voit même pas la moité d’un !!
Il fait 32° depuis 5 jours. Les pistes sont de plus en plus poussiéreuses. Seul les chameaux installés sur le passage semblent apprécier.
Arrivé à Khovd, on profite de faire le plein des réservoirs d’eau avec en bonus, la possibilité de relever nos mails dans un cyber N48°00.432 E091°38.472. On pensait s’offrir une pose bien mérité dans les bains publics de la ville N47°59.966 E091°38.585, manque de chance c’est jour férié et les commerces sont fermé.
Sur la piste d’Olgii, on passera 2 jours dans un dans un petit canyon, installé sur les bords d’une rivière avec au menu baignade et lessive. N48°23.294 E091°11.606.
Enfin Olgii, c’est le jour du réapprovisionnement général, avec un bon repas Turc au « Pamukkale » et enfin les bains publics.
La frontière de Tsagaannuur se rapproche. Pour terminer de notre traversée, comme tout le monde, on négligera le tronçon de la nouvelle route impraticable pour reprendre les anciennes pistes plus confortables. C’est une belle aventure de 2’800km dont 1’500km de pistes parfois pénibles, que l’on aura vécu pour traverser ce vaste pays. Aucun problème mécanique, à l’exception d’un pneu déchiré 10 km avant la sortie du pays.

On retiendra de la Mongolie, les paysages, la liberté, les bivouacs, la gentillesse des gens et le climat en cette période de l’année.

Infos aux voyageurs ! Nous avons utilisé pour la première fois Le petit futé, mais plus jamais …..

Le retour août 2011

par la Russie / Ukraine / Roumanie / Hongrie et l’Autriche

On se retrouve en Russie dans la république de l’Altaï. Magnifique chaine de Montagne que l’on découvre en longeant rivières et torrents avec aussi des passages de cols de 1500m d’altitude. Le soleil joue à cache cache ce qui ne découragent pas les nombreux vacanciers Russes. Sur les routes, c’est un peu la bousculade, de nombreuses Lada écrasées sous le poids des bagages sont pressées d’arriver à destination. Déjà des centaines de tentes sont plantées côte à côte au bord de l’eau sans aucune interdiction. Un peu comme eux, on profitera de cette liberté, qui permet de savourer la nature simplement.
Jusqu’à Ufa, on reprend la même route utilisée pour l’aller, avec cette fois le beau temps ce qui nous permet de profiter de la campagne pour nos bivouacs.
Puis, direction Samara, le sud de la Russie, sur les bord de la Volga. C’est à une centaine de kms de cette ville que l’usine automobile VAZ, plus connue sous le nom de LADA, fut construite en 1966 .
Pour se rendre à Volgograd on choisira l’ancienne route touristique qui longe la Volga côté EST. Sur les côtés de la chaussée les pastèques et les melons sont vendus par centaines. Dans les anciens villages à moitié désertés, on trouve des pompes à eau fatiguées par les années, pour remplir nos réservoirs. La route est souvent en mauvais état avec des passages poussiéreux semblables à ceux que nous avons connut en Mongolie. Puis, coupée par le Fleuve, il faudra attendre 3 heures sur l’unique ferry pour traverser la centaines de mètres qui séparent les deux rives.
On fera une brève visite de Volgograd (1 mio d’habitants). Dans cette ville rendue tristement célèbre par la fameuse Bataille de Stalingrad, on s’accordera un repas bien mérité dans les guinguettes installées sur les bords de la Volga.
Dans la région de Rostov, après les longues distances dans les terres, on espérait trouver la plage rêvée sur les bords de la Mer d’Azov. Hélas! Nous sommes toujours en Russie et les accès de mer ne sont possibles que par des centres de vacances fermés par de grands portails datant de l’époque soviétique.
Passé la frontière de l’Ukraine, les bords de mer d’Azov deviennent plus agréables. Sur les routes, on profitera sans limite des pastèques et melons toujours et encore vendus dans les même conditions.
On roule sur la presqu’île de la Crimée et sans trop s’en rendre compte, on arrive sur les bords de la mer noire. C’est un peu la côte d’Azur Ukrainienne. Malgré son nom, le bleu est dominant. Avec une eau translucide et des plages de galets ou de sable les touristes sont au rendez-vous.
Sans aucun interdit, avec un matériel rudimentaire, les Ukrainiens profitent d’une liberté que nous avons perdu en Europe pour camper en pleine nature. La région est belle, la température est agréable, on y séjournera une semaine.
On reprend la route pour prendre la direction de la Roumanie en contournant la Moldavie par le nord. Vers Kherson, sur un stop de routiers, on fera la connaissance d’une famille Française, Florence, Pascal et l’adorable Léo, à bord d’un Patrol, également sur le chemin du retour de Mongolie (www.Globepisteur.com). On passera 8 jours ensemble sur les routes avec de beaux de bivouacs autour des BBQ bien arrosés et des visites de vestiges comme celui de Kamjanec-Podil’skyj avec un bivouac inoubliable dans les ruines du château ou encore Chotyn en Ukraine et en Roumanie à Sighisoara la citadelle médiévale avec la maison natale de Dracula, (Vlad Ţepeş né en 1431). Tous les bons moments ont une fin, pour une raison de timing, chacun devra reprendre sa route.

Notre chemin nous conduira en Hongrie. A Budapest, sous le ciel bleu on flânera dans cette agréable capitale située sur les bords du Danube considérée comme l’un des des plus belles plus belles villes d’ Europe.

L’ Autriche est proche on restera 3 jours à Vienne pour profiter de cette ville au style tellement variée, panachée entre l’ancien et moderne. Pour marquer la fin de notre belle aventure Mongolienne, on passera de sympathiques soirées sur les terrasses des cafés de la vielle ville sans négliger le Naschmarkt réputé pour y manger la nourriture du monde entier. On quittera l’Autriche par la vallée du Danube avant de retrouver une Suisse ensoleillée.

Notre aventure de 23’000 km fut un véritable bonheur qui s’est déroulée sans incidents majeurs.

Les fraval.


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